Ce que les fumeurs doivent savoir maintenant
Les cinq clés
de la
réduction
des risques
Ceux qui peuvent arrêter de fumer devraient le faire. Mais pour les adultes qui ne renoncent pas à la consommation de tabac, le principe de la réduction des risques s’applique. Voici les faits essentiels sur les alternatives sans combustion.
5 faits que les fumeurs doivent savoir sur la réduction des risques liés à la consommation de tabac :
1
Qu’est-ce que la réduction des risques dans le tabac ?
L'objectif de la réduction des risques liés au tabagisme est de réduire considérablement les effets négatifs de la cigarette. Les fumeurs adultes qui souhaitent continuer à consommer du tabac se voient proposer de meilleures alternatives.
Cette approche implique que l'arrêt complet de la nicotine et du tabac est toujours le meilleur choix. Mais elle reconnaît également que beaucoup ne parviennent pas à franchir ce pas.
La réduction des risques liés à la consommation de tabac passe par des moyens scientifiquement fondés permettant de réduire l'exposition aux substances nocives. C'est précisément ce principe que suit Philip Morris International (PMI). L'entreprise s'est engagée à remplacer dès que possible les cigarettes par de meilleures alternatives, sans fumée et scientifiquement fondées. Depuis 2008, PMI a déjà investi 14 milliards de dollars américains dans cet objectif ambitieux.
2
Pourquoi fumer
est-il nocif ?
Le principal problème vient de la combustion, qui libère plus de 6 000 substances chimiques, dont environ 100 sont jugées nocives. Ce n’est donc pas la nicotine en soi qui est la cause principale des dommages liés au tabac.
3
La nicotine :
un élément mal compris
Une idée fausse très répandue consiste à penser que la nicotine est la principale cause des risques liés au tabagisme.
S'il est vrai que la nicotine crée une dépendance et augmente notamment la tension artérielle, ce n'est pas la principale raison pour laquelle fumer est si nocif.
Les dangers réels proviennent des milliers de composants chimiques qui se forment lors de la combustion du tabac. C'est pourquoi les systèmes sans fumée qui libèrent de la nicotine peuvent potentiellement constituer une alternative significativement moins risquée que le tabagisme classique.
4
Preuves scientifiques de la réduction des risques
La recherche dans le domaine de la santé publique soutient l'approche de réduction des risques.
Des études menées par des institutions renommées, dont Public Health England, prouvent que le vapotage est au moins 95 % moins nocif que le tabagisme.
Des études indépendantes et les conclusions scientifiques de Philip Morris International sur les dispositifs de chauffage du tabac montrent également que les émissions toxiques sont réduites de 90 à 95 % en moyenne par rapport à celles générées par la cigarette traditionnelle. Ces alternatives ne sont certes pas sans risque, mais elles présentent un risque potentiel nettement moindre que la consommation continue de cigarettes. La réduction des risques est donc une approche réaliste pour limiter les conséquences négatives du tabagisme.
5
Tabac chauffé ou cigarettes électroniques : quelle est la différence ?
Les dispositifs de chauffage du tabac et les cigarettes électroniques font tous deux partie des produits à risque réduit, mais leur fonctionnement est différent :
Les dispositifs pour chauffer le tabac utilisent du tabac véritable qui est chauffé et non brûlé, ce qui réduit considérablement les émissions de substances nocives.
Les cigarettes électroniques, en revanche, vaporisent des liquides contenant de la nicotine, ce qui produit de la vapeur (et non de la fumée).
Les sachets de nicotine se distinguent des deux autres variantes : ils ne sont pas électroniques et ne produisent pas de vapeur. Ils sont placés sous la lèvre, où ils libèrent de la nicotine et des arômes.
Ces trois variantes sont considérées comme de meilleures alternatives au tabagisme, mais elles diffèrent dans la manière dont elles libèrent la nicotine
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Présenté par Philip Morris Switzerland Sàrls